Mieux dans mes baskets contre le cancer
            

Idée reçue : maladie + fatigue = repos ?

On a longtemps cru que la maladie imposait du repos. En affectant les capacités cardiorespiratoires et musculaires, les pathologies cancéreuses et leurs traitements provoquent une fatigue tant physique que psychologique.

Personne qui marche avec le dessin d'un oiseau multicolore devant elle
Visuel d'une cinquantenaire de face et un petit dessin de cotillon sur le coté

Sur 10 personnes pratiquant une activité physique régulière avant le cancer, 6 modifient leurs habitudes au moment du diagnostic2

Cette fatigue est considérée comme l’un des symptômes les plus invalidants, car elle affecte considérablement notre vie quotidienne.

Peu à peu, elle impose de réduire, voire d’arrêter les activités qui composent ordinairement nos journées. Elle demande à passer plus de temps assis ou allongé, entrainant ainsi le développement d’un comportement sédentaire.

Pourtant, la sédentarité accélère à son tour la perte de condition physique : essoufflement à l’effort, destruction des masses musculaires… Un cercle vicieux pouvant conduire à une diminution de l’autonomie, de la qualité de vie, de l’estime de soi et une fatigue qui se fait de plus en plus présente.

Environ 80%

des personnes atteintes de cancer souffrent de fatigue3.

Environ 30%

C’est la réduction du niveau de fatigue des patients qui pratiquent une activité physique adaptée.3

Environ 40%

C’est la réduction de la mortalité globale associée à la pratique d’une activité physique post-diagnostic dans le cadre du cancer du sein, du cancer colorectal et de la prostate non métastatique.1

Sources : 
1 - INCa, bénéfices de l’activité physique pendant et après le cancer - Des courtes connaissances scientifiques aux repères pratiques, 2017 | 2 - Fondation Arc - Lien de la page - Consulté le 12/08/19 | 3 - Ligue contre le cancer - Activité physique adaptée - Lien de la page - Consulté le 12/08/19

PO-03059-04/25