Mieux dans mon corps avec le cancer
Pratiquer une activité physique
Maintenir une activité physique pendant les traitements anti-cancéreux est bénéfique pour le patient.
Quel que soit le moment de la prise en charge de la maladie, l’activité physique réduit d’environ 30 % le niveau de la fatigue1.

Sommaire
En marche
Je marche, tu cours, il/elle nage, nous pédalons, vous faites de la gym, ils/elles bougent… C’est indispensable! La pratique d’une activité physique régulière et adaptée améliore la qualité de vie (le sommeil, l’anxiété, l’image corporelle et le bien-être)2.
En mouvement
On entend par activité physique tout mouvement produit par les muscles squelettiques, responsable d’une augmentation de la dépense énergétique2. Si le sport est salutaire, toutes les activités de la vie quotidienne sont les bienvenues : marcher, monter les escaliers, jardiner, cuisiner… Le yoga, la gymnastique douce, le vélo, la marche rapide, le footing… tout est bon. La nature, l’intensité, la durée et la fréquence doivent être adaptées à la maladie, aux traitements et aux capacités de chacun. Un bilan effectué avec l’équipe soignante permet d’établir un programme personnalisé et progressif.
En main
Si pratiquer une activité physique est bénéfique pour la santé tout au long de la vie, cela l’est encore plus pendant et après la maladie. Un réapprentissage des mouvements et un retour progressif à l’effort sont souvent nécessaires. Cela permet de reprendre des activités quotidiennes ou physiques le plus vite possible et de récupérer une certaine autonomie. À plus long terme, faire du sport, avoir une activité adaptée aide à reprendre en main son quotidien, à retrouver une vie sociale, à se sentir bien dans son corps et dans sa tête.
Sources :
1 - AFSOS - Une activité physique adaptée - Lien de la page – Consulté le 16-05-25 | 2 - CAMI – Sport et cancer – impacts et bénéfices – Lien de la page - Consulté le 16-05-25
PO-03019-04/25